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Artiste, Photographe

Photographe, réalisateur, designer, je suis un explorateur de l’image depuis mes premières caméras et ensuite mes premiers ordinateurs.

Nous sommes à l’ère de  l’outil Intelligence Artificielle permettant à tous de créer des visuels réalistes avec des mots, une révolution qui bouleverse définitivement la manière de créer. Il est possible de faire des peintures sans pinceau, des photos sans caméra.
Mais ce n’est pas ce que je fait. Je prends de vraies photos avec des personnes réelles.

Après des années d’expérience dans la communication, c’est dans ce contexte de nouveaux repères que je me présente en tant qu’artiste utilisant la photographie.
Pure folie, vanité, malchance ou opportunité, c’est surtout une belle aventure et une nécessité pour mes neurones agités.

Dans ma démarche être photographe à une époque où nous sommes bombardés d’images artificielles, c’est comme poser un dernier regard sur nous même.
Je nous vois, étouffés par notre mode de vie et pourtant, étrangement insouciants.

Frank Lavernhe

Expositions

  • 2020 Mon âme noire en couleurs – Galerie d’Emma
  • 2023 Expose chez moi – Concept d’esposition chez des particuliers et Professionnels
  • 2024 Ice Rocks  Rue du Safranier
  • 2024 Créatures  – Sur le Catamaran Felicitad  
  • 2025 Nous sommes Franky – Muchacho cantina

Mes photos

En 2007 je redécouvre la photos après des années de vidéos et ce sont des panoramiques Panoramiques linéaire et sphériques

Panoramiques de bars avec le Bituroscope un répertoire de bars a travers le monde mais en photo panoramique

En 2015 j’enferme des personnages de modélisme ferroviaire dans des glaçons: mon interrogation était comment faire des glaçons transparents et ensuite comment y mettre des bulles

En 2017  Après une première expérience chanceuse à Paris, j’ai pris goût à la photographie de rue, en mode chasse à l’homme et photos volées.

J’ai établi un mode opératoire pour saisir l’instant fugace : petit appareil silencieux au creux de la main, doigt sur le déclencheur, visée au jugé. Dès que mon œil est séduit, l’index réagit, la caméra saisit l’instant, le corps se balance et poursuit sa route.

Le sujet n’a rien vu. Je ne peux pas m’arrêter pour lui demander son numéro et lui dire j’ai une super photo de toi, je n’en sais rien encore.

Le résultat est très aléatoire, le taux de réussite faible. Par contre les images sont surprenantes, de vrais instants avec un cadrage absolument décalé, très dynamique. La récompense est là.

En 2019 Les  voiles – La première fois que je peux suivre ces voiliers lors d’une régate, j’ai la chance de voir ce superbe cotre classique affaler son spinnaker gris.

C’est avec plus de préparation que je peux ensuite traquer cet instant particulier.  J’ai  du temps libre, une embarcation rapide, un appareil performant et de l’eau fraiche. Prêt à saisir le moment magique, où cette immense toile soyeuse se rétracte avec grâce.

Pour les équipages la manœuvre n’est pas toujours facile et tourne parfois au fiasco mais le spectacle est à couper le souffle.

En 2020 Je commence une première série d’images évoquant l’étouffement et le repli sur soi je les appelle « Autoportraits de mon âme noire en couleurs » une première exposition dans une galerie me permet de rebondir avec d’autres modèles et de nouveaux accessoires, récupérés, trouvés ou prêtés par d’autres créateurs.

Reprenant les codes du portrait, j’arrive à transformer les visages en les faisant apparaître au travers d’un voile coloré, brillant, translucide sublimant parfois le visage du sujet.

Le plastique comme une accessoire de beauté, on y arrive déjà avec avec nos lunettes, bijoux fantaisie, écouteurs, et masques de protection anti particule, anti virus, anti surveillance…

Depuis quelques années je garde les sacs plastiques de mes achats divers,

certains ont des qualités photographiques couleur, brillance, transparence. qui me fascinent.

Alors j’habille mes modèles d’une coiffe futuriste, faites de plastiques, sublimant leurs traits et je crée des images douces et belles, fascinantes  mais qui immanquablement évoquent l’étouffement et agitent un sentiment d’angoisse.

On peut voir mes images comme une allégorie poétique et mortifère.

Le plastique nous est aussi indispensable à notre bien être que néfaste pour notre monde.

j’utilise à 98% des emballages de récupération.

J’utilisent plusieurs fois les plastiques et j’en ai une bonne collection

On ne sait pas vivre sans le plastique. Il est autour de nous, sur nous… en nous.

Loisirs, mobilité, communication, nourriture, santé : il est partout. À la fois pratique, attractif, il est devenu très facilement indispensable, il fait notre bonheur et, bientôt, notre malheur. Sa qualité première est d’être jetable, il devient alors déchet polluant qui coloré ou invisible fusionne avec notre environnement.

Depuis longtemps, je garde les sacs et les emballages donnés par les commerçants. Je me dis : “ils sont beaux… ça peut toujours servir… ce serait dommage de les jeter !“

Un jour je me suis mis à utiliser ces sacs plastique dans mes images : cette série était née. Fascinante et dérangeante, la matière brille et filtre la lumière sur les visages, leur donne une autre texture, une version dénaturée de chacun.

Expositions

  • 2020 Mon âme noire en couleurs – Galerie d’Emma
  • 2023 Expose chez moi – Concept d’esposition chez des particuliers et Professionnels
  • 2024 Ice Rocks  Rue du Safranier
  • 2024 Créatures  – Sur le Catamaran Felicitad  
  • 2025 Nous sommes Franky – Muchacho cantina